Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Eviter la pause café
Cela peut paraître parfaitement anodin et pourtant... C'est le moment essentiel dans la vie de l’entreprise. D'une, c'est un instant de détente privilégié pour tisser de bonnes relations au bureau. De deux, bavarder autour d'un gobelet permet aussi de s'acclimater à la culture d'entreprise.
Alors, on ouvre grand les yeux et les oreilles : comment communiquent ces nouveaux collègues ? Préfère-t-on le téléphone, les mails ou les conversations en face à face ? Pareil pour les vêtements : plutôt strict ou plutôt décontracté ? Le meilleur moyen de bien débuter, c'est de ne pas dépareiller.
Oublier ses collègues
Les premiers pas dans une nouvelle boite sont forcement stressants : tout est à apprendre et les journées ne sont pas extensibles. S'isoler dès les premiers jours, au prétexte d'une grosse charge de travail, n'est pourtant pas la solution. Il faut prendre le temps de faire connaissance avec ses futurs collègues, d'apprendre leurs noms et leurs fonctions : c'est le meilleur moyen de se repérer rapidement dans un nouvel environnement de travail.
D'autre part, montrer, sans excès, un minimum d'intérêt pour chacun est toujours générateur d'utiles "coups de pouce" quand on arrive.
Ne pas adopter la juste distance
L'usage du "tu" ou du "vous" change d'une boite à une autre et relève bien souvent de la culture de l'entreprise. Pour éviter les impairs, un petit conseil simple : après quelques jours, il n'est pas anormal de tutoyer ses collègues proches pour favoriser une ambiance de travail moins formelle et développer l'esprit d'équipe.
En revanche, la familiarité impliquée par le "tu" peut contribuer à masquer ou compliquer les relations hiérarchiques. Mieux vaut donc éviter d'en user avec ses supérieurs.
Montrer d'où l'on vient
"Dans mon ancienne boîte, on faisait comme ça" ou "le logiciel que j'utilisais avant était bien plus efficace" sont des phrases à proscrire. Si ce sont les compétences et l'expérience acquises qui permettent de décrocher un job, il ne faut pourtant pas pêcher par nostalgie : imposer ses valeurs ou critiquer la manière de travailler de ses collègues peut vite s'avérer lassant, voir blessant. Le mieux, quand on arrive, est toujours l'ennemi du bien.
Vouloir en faire trop
Période d'essai oblige, l'objectif est d'abord de faire bonne impression. Attention pourtant de ne pas tomber dans l'excès de zèle. Ainsi faut-il éviter de faire croire que l'on peut travailler mieux et plus vite que ses collègues ou, pire, se persuader que l'on peu faire "plus", sans respecter l’espace professionnel de chacun.
A trop vouloir prouver au patron qu'il a fait un bon choix, on n'aboutit qu'à une seule chose : se faire haïr par ses collègues.