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Le "trimestre anti-inflation", initiative de l’exécutif face à au contexte inflationniste sévissant à l’heure actuelle, sera lancé à compter du 15 mars. Il doit durer jusqu’à la mi-juin, et consiste pour le gouvernement à inciter les acteurs de la grande distribution à procéder au blocage des prix de certains articles jugés indispensables. Le "trimestre anti-inflation" est en fait né de l’idée d’un "panier anti-inflation" il y a quelques mois de cela : une mesure qui devait, à l’origine, être mise en place directement par l’exécutif, qui y a finalement renoncé.
Plusieurs enseignes de la grande distribution ont donc mis en place dans leurs filiales ces fameux paniers anti-inflation. Notamment, le géant Super U qui mettra à disposition de ses clients un total de 150 produits à prix coûtant. Parmi eux, on retrouve des produits frais tels que de la viande ou des légumes, mais également des produits d’hygiène ainsi que des chips et certains alcools. Le choix d’inclure ces derniers fait d’ailleurs quelque peu polémique, comme le rapportent nos confrères de Pleine Vie.
Panier anti-inflation : les mauvais élèves de la grande distribution
La quasi-totalité des enseignes se plie au jeu, à l’exception de Leclerc et Cora. Intermarché a d’ailleurs d’ores et déjà lancé son initiative, portant sur un total de 30 produits frais et 470 produits de marque distributeur. Afin de faciliter l’identification des produits concernés de manière homogène dans tous les magasins, l’Etat a conçu un logo spécialement pour l’occasion. On peut y voir les contours d’un panier de courses, flanqué de l’inscription "trimestre anti-inflation" au coloris bleu-blanc-rouge, comme vous pouvez le constater ci-dessous.