Une habitante de Ploërmel en Bretagne vivrait depuis plusieurs mois dans son véhicule. Ce type de cas, évoqué de façon récurrente dans la presse, soulève la problématique de la paupérisation des personnes...
Une nouvelle enseigne de hard-discount qui promet des prix "10 à 20% inférieurs à ceux des concurrents". Cette chaîne russe, Mere, promet des prix bas à ses futurs clients, grâce à des économies faites sur les locaux, les employés, l'équipement, les rayons, les emballages ou encore le conditionnement des produits. D'après les informations du Parisien, la marque avait annoncé son arrivée en France pour le mois d'octobre... Sans même avoir contacté les municipalités concernées ni entamé la moindre démarche. Chose qui pourrait bien retarder l'arrivée de Mere dans l'Hexagone.
Thierry Ghezzi, l’adjoint au Commerce à la mairie de Thionville (Moselle), évoque la première fois qu'il a entendu parler de l'enseigne. Dans les colonnes du quotidien francilien, il explique avoir vu sa ville citée dans la presse comme l'une de celles qui accueilleront bientôt un magasin de la chaîne. "Le maire m’a demandé : mais tu les connais ? (...) Eh bien non, je n’en avais jamais entendu parler et ils ne m’avaient même pas contacté !", raconte-t-il.
Pas d'ouverture avant le mois de décembre
Selon Le Parisien, il ne sera pas possible d'ouvrir les magasins Mere avant le mois de décembre 2021, voire en début d'année prochaine. "Il faut compter avec un certain nombre de délais incompressibles. Le processus, tout d’abord, ne débutera qu’une fois les communes choisies contactées. À Pont-Sainte-Marie, on attend toujours", explique le média. À Sainte-Marguerite, en revanche, des démarches ont d'ores et déjà été effectuées pour ouvrir l'une des boutiques de l'enseigne russe.