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Certains profitent de la crise pour s’enrichir. Planet a déjà eu l’occasion de l’expliquer de nombreuses fois : de nombreux ménages ont pu mettre de l’argent de côté durant les confinements et couvre-feu successifs, voire épargner une partie des sommes récupérées. Tant et si bien que l’Etat s’intéresse aujourd’hui à ce trésor jalousement gardé par un pan des contribuables.
Pour autant, il serait faux de dire que "les Françaises et les Français" se sont enrichis. Ce phénomène, expliquait déjà Ouest-France en octobre 2020, sur la base des informations de l’Insee, n'a rien d’universel. Il fait aussi de nombreux perdants. En mai 2020, près d’un quart (23%) des ménages de l’Hexagone jugeaient que durant le premier confinement, leur situation financière s’était dégradée. Les disparités sont conséquentes et les familles précaires sont généralement les plus touchées. Il en va de même pour les jeunes. Sans oublier, bien sûr, tous les artisans, restaurateurs, comédiens et autres travailleurs dont les mesures sanitaires bloquent tout espoir d’activité.
Fins de mois : à quelles astuces faut-il penser pour mieux s’en sortir ?
En pensant à eux, peut-être, Julien Courbet a présenté trois façons d’arrondir ses fins de mois dans son magazine Capital du 28 février 2021, dont Ouest-France reprend quelques-uns des "plans malins". Quoi qu'il en soit, ces "astuces" peuvent servir à tous. Et cette fois, il s’agit moins de s’enrichir que de retrouver un peu de confort financier et de sérénité.
La première d’entre elles est peut-être la plus évidente — ou, au moins, la plus traditionnelle. Le journaliste pense, en effet, à la location d’un logis. Certains passent par AirBnB, mais il existe aussi d’autres solutions, parfois plus modulaires, qui permettent de ne louer qu’une partie de l’habitat. Il s’agit tantôt de la cave, ou tantôt du salon…
Fin de mois : avez-vous pensé à la vente à domicile ?
Autre "plan malin", quoique difficile à mettre en œuvre en pleine crise sanitaire : la vente à domicile, parfois abrégé en VAD. Concrètement, c’est là le métier qu’exercent 700 000 personnes en France et qui, si la barque est bien menée, peut rapporter parfois jusqu’à 5 000 euros mensuels. Cependant, rien n’oblige à être aussi assidu ! Par conséquent, il est possible de ne penser cette activité que comme un complément de revenu.
Le hic ? Il faut aller démarcher ses clients, se rendre chez eux et rien de tout cela n’est aisé. D’après les équipes de Julien Courbet, il demeure facile de se faire avoir. Soyez vigilants !
Fin de mois : compter sur la chance et les jeux-concours
Dernière option abordée par les équipes de Capital : les jeux-concours, sans cesse plus populaires sur le sol Français ces dernières années. En tout et pour tout, ils représentent l’opportunité de rafler jusqu’à 20 000 euros par an.
Fort heureusement, ils demeurent pour l’essentiel gratuits… Sous réserve quasi-mécanique, évidemment, de consommer. Il s’agit souvent de petits coupons que l’on retrouve sur des emballages alimentaires, avec son nouveau smartphone et parfois même dans sa boîte aux lettres (ou mail !). C’est parfois l’occasion de regagner un peu de pouvoir d’achat...