La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Les raisons de cette augmentation sont connues : indexation sur l’inflation et nécessité de poursuivre les investissements dans les infrastructures. C’est bel et bien le contribuable qui a financé la construction du réseau français, mais c’est aux compagnies, qui les ont rachetés suite à la privatisation de 2005, de les entretenir.
Si la hausse sera de 1,94%, ce chiffre reste une moyenne qui ne sera pas appliquée partout. Dans certains cas, les usagers ne constateront aucune modification des tarifs. Des disparités qui s’expliquent par la règle de l’arrondi. Pour permettre la fluidité des transactions aux guichets des bornes à péages, à titre d’exemple il s’en effectue 160 millions chaque année sur le réseau APRR, les compagnies s’efforcent de proposer des tarifs arrondis à la dizaine de centimes. Une hausse de moins de 6 centimes sur une tranche de 10 centimes ne sera donc pas répercutée. Une augmentation égale ou supérieure sera elle vue à la hausse. Cependant pour les hausses inférieures à 6 centimes, l’augmentation est prise en compte l’année suivante. Ouf !