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Deux mois après la mort de Johnny Hallyday, la guerre est déclarée au sein de la famille. Lundi, les ainés du regretté chanteur, Laura Smet et David Hallyday, ont annoncé vouloir se battre pour contester le testament de leur père. Ce document les déshérite au profit de leur belle-mère Laeticia Hallyday, qui se verrait confier "l’ensemble de son patrimoine et l’ensemble de ses droits d’artiste".
Si la procédure a été lancée par l'actrice, le chanteur a confirmé qu'il serait co-demandeur de la demande. Unis pour réclamer ce qu'ils estiment leur être dû, Laura Smet et David Hallyday ne portent pourtant pas le même nom de famile et ce, pour des raisons assez spécifiques.
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Laura Smet : "Mon père aurait aimé que je m’appelle Hallyday"
"Être une ‘fille de’ a été à la fois une chance immense et un boulet", confiait la fille de Johnny Hallyday et Nathalie Baye dans Gala,ajoutant qu'elle avait toujours voulu se détacher de cette étiquette "d’enfant de" qui lui colle forcément à la peau avec une telle figure parentale. "C'est compliqué parfois. Pour faire ce métier, que l'on soit "enfant de" ou pas, ce n'est pas plus facile ou difficile. C'est différent. Il faut croire en soi", expliquait-elle. L'actrice, bien que fière de son père, a donc préféré gardé le véritable patronyme de son paternel et s'appeler Laura Smet. Dans Psychologies Magazine, elle confiait toutefois que Johnny Hallyday aurait aimé qu'elle porte son nom de scène.
David Hallyday, à la poursuite de son héritage musical
Pour David Hallyday, c’est une toute autre histoire. "Mon nom ? Je n’ai pas eu le choix, avait-il évoqué dans VSD. C'est sûr que Hallyday, ce n'est pas facile à porter. Je n'ai pas eu le choix, on m'a appelé comme ça dès mon premier jour et ça m'est resté". Lui-même chanteur, il explique que cet handicap apparent "ne lui a pas vraiment posé de problème", "Je suis plutôt fier de mon héritage artistique. Et il y a de quoi", avait confié le chanteur dans le magazine Closer.
Des noms différents certes, mais une complicité qui ne fait plus aucun doute aujourd'hui. "Avant je l'appelais mon demi-frère, maintenant il est mon frère", expliquait Laura Smet en 2010 à Psychologies Magazine.
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