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Une nouvelle enquête attend Florence Cassandre. Ce samedi 12 novembre, Gwendoline Hamon endosse le rôle de commissaire dans un épisode inédit de la célèbre série policière sur France 3. Un volet réalisé par Mathilde Valet, intitulé La Forêt Rouge, clôturant la sixième année de la fiction.
Au cœur de cette intrigue, le double meurtre de Julien et Lise Fromentin, un couple dont les corps sont découverts par Anicée, leur fille de 18 ans. Pour la jeune femme, ce crime serait lié au travail de son père qui venait d’être promu directeur de l’Agence française des Bois et forêts. Pour autant, ce dernier avait une vision de son métier qui ne plaisait pas à tous. Une nouvelle investigation pour l’héroïne qui devra résoudre ce mystère, épaulée par son collège capitaine Pascal Roche (Alexandre Varga) et le lieutenant Jean-Paul Marchand (Dominique Pinon).
Gwendoline Hamon (Cassandre) : ce que l'actrice pense de son personnage
Depuis 2015, Gwendoline Hamon tient le rôle de la commissaire de police qu’elle affectionne au fil de sa carrière. "Je porte un regard très bienveillant sur elle", confie l'actrice par téléphone pour Planet. "J’aime beaucoup cette fille qui est un peu une cousine germaine (rires). Il y a beaucoup de choses de moi". Et, d'ajouter. "On a forcément des choses en commun, ça fait très longtemps que je l’interprète et puis elle est née avec moi".
Pour la comédienne, "il y a toujours une part de l’acteur ou de l’actrice" en jouant le rôle-titre d’une série. "Quand on joue un personnage sur tant d’épisodes, il faut alimenter sa personnalité, son caractère. Et, j'y mets de moi", nous assure la quinquagénaire. Une commissaire de police tenace et attachante qui continue de fédérer le public au fil des années.
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Gwendoline Hamon : comment vit-elle le succès de Cassandre ?
Depuis la première diffusion de Cassandre, la comédienne Gwendoline Hamon a suscité l’intérêt du public qui l’a (re)découvert à la télévision. Le 5 novembre dernier, elle réunissait près de 4,9 millions de fidèles sur France 3. Et, jusqu'à 5,2 millions de confinés en mars 2020, un record d’audience face aux divertissements de TF1.
"Je trouve ça très joyeux. Je suis toujours épatée de la recette d’un succès", reconnait l’actrice pour Planet. Soucieuse de vouloir toucher un large public, la petite-fille de Jean et Nicole Anouilh évoque ce succès. "C’est beaucoup plus difficile à faire qu’on ne le croit de pouvoir plaire à une petite fille comme à une senior ou un jeune téléspectateur".
Face à une telle notoriété, Gwendoline Hamon est reconnaissante auprès du public tout en restant réaliste. "Je le réalise évidemment au quotidien, dans la rue, à travers les messages que je reçois. Mais, ce n’est pas du tout quelque chose auquel je fais attention", et d’ajouter. "J’ai la même vie qu’avant même si je vois bien les regards et les attentions des fans. Mais, ça ne change rien à ma vie".
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Gwendoline Hamon : ses confidences sur le tournage de la fiction
En attendant la diffusion des prochains épisodes, Gwendoline Hamon continue de tourner la suite des aventures du commissaire Florence Cassandre. Entre octobre et novembre, la célèbre actrice se trouvait entre Amenasse, Aix-les-Bains et Talloires pour filmer les scènes avec la réalisatrice Floriane Crépin. Lors de notre entretien par téléphone, elle nous raconte les coulisses du tournage.
"Ça se passe très bien. On a des guest (acteurs invités, NDLR) vachement chouettes. Des gens que j’adore comme Serge Hazanavicius, Laurent Bateau ou Isabelle Renaud. Ils sont super sympas", nous assure-t-elle. "On a une réalisatrice adorable et il y a une bonne ambiance où l’on tourne dans les montagnes".
Pour autant, l’actrice française admet que le rythme des tournages est soutenu. "Ça se passe super bien même si c’est fatigant comme on est là tous les jours. C’est un gros rythme pendant deux mois. Se lever tôt le matin, apprendre des textes, être concentrés et au taquet". Une pression en plus pour celle qui porte la fiction sur ses épaules. "Quand on est le personnage principal, on donne le LA", concède la comédienne avant de conclure. "C’est une responsabilité, mais j’ai tellement de chance d’être là où je suis que je ne vais pas m’en plaindre".
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