Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Depuis le 4 avril, les pompiers luttent avec ardeur contre l'incendie qui sévit en Ukraine. Le gouvernement a fait mobiliser des hélicoptères bombardiers d'eau afin de venir à bout du sinistre, lequel est entretenu par de puissants vents, rapporte La Voix du Nord.
Si toute catastrophe de cet ordre est par nature inquiétante, celle-ci s'avère d'autant plus effrayante qu'elle touche directement la zone d'exclusion de Tchernobyl. D'après Greanpeace, qui évoque le "pire incendie jamais observé" sur place, les flammes ne seraient plus qu'à "environ 1,5 kilomètres" de l'arche où demeure le réacteur accidenté qui a explosé le 26 avril 1986.
Les forces de l'ordre ont fini par attraper le coupable. Il s'agit d'une jeune adulte de 27 ans, qui a dit avoir allumé le feu "pour s'amuser", poursuit le titre de presse régional.
Un incendie inquiétant ?
"La centrale nucléaire de Tchernobyl, les lieux de stockage de déchets radioactifs et les autres infrastructures cruciales de la zone d’exclusion ne sont pas menacés", a cependant fait savoir Volodymyr Demtchouk, haut responsable des services d'urgence ukrainien, qui publiait une vidéo à ce sujet le lundi 13 avril 2020, sur Facebook. Des propos qui correspondent à ceux de Anton Gerachtchenko, le vice-ministre de l’Intérieur ukrainien.
Pourtant, au gouvernement, tous n'ont pas toujours tenu ce discours : Iegor Firsov, chef par intérim de l'inspection écologique gouvernementale, avait d'abord déclaré que les niveaux de radiation constatés aux cœur de l'incendie dépassaient très largement les normes... Avant de finalement se raviser.