En visite officielle à Rabat, Brigitte et Emmanuel Macron se sont rendus au mausolée du roi Mohammed V. La Première dame, respectant les coutumes locales, a suscité l'amusement en apparaissant pieds nus.
Ces statistiques vous feront frémir, ou bien elles vous rassureront, selon le point de vue. L’Insee a publié le 30 octobre un “focus” portant sur les décès en France. Premier enseignement : le nombre de décès a reculé l’an dernier par rapport au précédent: 639 000 personnes sont mortes en France contre 675 000 en 2022. Une situation qui s’expliquerait par la fin du pic de mortalité consécutive à la crise de Covid-19. Sur un plan plus structurel, le nombre de décès annuels augmente de façon rapide depuis le début des années 2010 et l’arrivée progressive en fin de vie de la génération du “Baby-Boom”, soit les personnes nées entre 1945 et 1965.
L’on observe en outre une stagnation de l’espérance de vie. Entre 2019 et 2023, elle augmente de 1 mois par an pour les hommes et 0,6 pour les femmes, soit un rythme deux fois moins rapide qu’au cours de la décennie précédente.
Saisons et lieux
L’autre grand enseignement concerne les fréquences des décès selon les périodes de l’année. De nombreux facteurs, tels que l’âge et le lieu où se produisent les décès entrent en ligne de compte. Ainsi, les morts les plus fréquentes au cours de l’été concernent davantage une catégorie d’âge spécifique, et plus souvent un type de lieu particulier.
Un moment très spécifique pour chacun d’entre nous, et le plus souvent heureux, occasionne également davantage de décès qu’aucun autre jour dans l’année. Voici tous les détails sur ces saisons, ces mois, ces journées plus ou moins propices aux décès en France.