De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Des chiffres toujours plus hauts. La cinquième vague de Covid-19 a frappé de plein fouet la France au milieu de l’automne et n’a pas encore reculé, à en croire les dernières données disponibles sur le virus. Selon le professeur Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique, nous allons observer une hausse des indicateurs jusqu’au milieu du mois de janvier.
Invité de BFMTV ce lundi 10 janvier, l’épidémiologiste estime que le pic des contagions liées au variant Omicron aura lieu "à la mi-janvier au plan national", mais qu’il faudra s’attendre à des "variations régionales". "Ce sera un peu plus tôt en Ile-de-France où l’afflux des patients Omicron à l’hôpital a commencé, un peu plus tard dans le Sud", précise-t-il auprès de la chaîne d’informations.
Masque FFP2 : faut-il en porter tout le temps ?
Le variant Omicron serait moins dangereux mais se transmettrait plus facilement, selon de premières études. Faut-il porter un masque FFP2 pour mieux se protéger ? Le Haut Conseil de la Santé publique doit se prononcer sur la question, afin de savoir s’il doit être généralisé à l’ensemble de la population, comme c’est le cas par exemple en Allemagne ou en Autriche. À l’origine, ce masque est privilégié dans les établissements de santé et sur les chantiers, car il ne laisse presque rien filtrer. Très ajusté, il colle plus à la peau qu’un masque chirurgical mais est aussi plus difficile à porter ou à mettre en place sur le visage. Mal positionné, il perd de son efficacité.
Alors qu’il peut s’acheter facilement dans des pharmacies ou des grandes surfaces, faut-il investir ? Tout le monde doit-il en porter un en permanence, même à l'extérieur ? Il est certes plus cher qu’un masque chirurgical et son utilisation peut être limitée à certains lieux de la vie courante. Découvrez lesquels dans le diaporama ci-dessous.