De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Faut-il porter le masque FFP2 ? Si le gouvernement français n’y semble, pour l’heure, pas favorable, de nombreux états – comme l’Italie ou l’Allemagne - l’ont d’ores et déjà rendu obligatoire, dans certaines conditions. Plus filtrants que les masques chirurgicaux, ils pourraient contribuer à diminuer les risques de contamination au variant Omicron, bien plus contagieux que les précédents. Le débat s’installe d’ailleurs dans les classes politiques et médicales. Plusieurs personnalités appellent en effet à la généralisation du masque FFP2.
"On va y venir, j'en prends le pari, parce que ce masque protège plus et que d'autres pays, comme l'Autriche et l'Italie, y sont venus", a assuré Eric Ciotti, finaliste malheureux de la dernière primaire LR, le 2 janvier dernier sur RTL.
Variant Omicron : l’efficacité des masques de nouveau en question
En raison de la prolifération de ce nouveau variant, dont le pic de nouvelles contaminations est bien supérieur à celui atteint depuis le début de l'épidémie, la question de l'efficacité des masques refait surface.
Si le port d'un masque de catégorie 2 de type chirurgical est requis au sein de nombreux lieux publics, entreprises, écoles et centres-villes, selon Karine Lacombe, "le FFP2 a le meilleur pouvoir filtrant, il protège mieux dans les environnements où le virus circule beaucoup. C'est par exemple le cas en intérieur, dans les transports en commun. C'est le meilleur moyen de protection dans les zones denses de population, dans une période où le virus circule de manière extrêmement intense", a assuré la cheffe de service hospitalier des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine de Paris au micro de LCI, ce 2 janvier.
Comment le mettre, quand faut-il le changer, quel est son prix ? Découvrez les réponses aux interrogations que vous pouvez vous poser, dans le diaporama ci-dessous.