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La version des faits invoquée par Thomas Menant ne tient pas la route. C’est en effet ce qu’à récemment indiqué M6 à TéléStar. En effet, alors que le candidat de la huitième saison de L’Amour est dans le pré est accusé d’avoir laissé l’un de ses chevaux agoniser seul dans un champ, l’éleveur aurait expliqué au refuge animalier qu’il l’a contacté qu’il savait que l’animal était à l’article de la mort mais qu’il ne pouvait se déplacer et ce, parce qu’il se trouvait à Paris pour le tournage de l’émission. Or, d’après la chaîne les dates ne correspondent pas. "L’ouverture des courriers a été tournée les 26 et 27 février, et Thomas a tourné son speed-dating le 16 mars", aurait ainsi déclaré M6 avant d’ajouter : "De plus, en cas d’absence des agriculteurs, un service de remplacement (c’est-à-dire qu’une équipe s’occupe de l’exploitation en l’absence du candidat) est mis en place aux frais de la production".
"J’ai traité le poulain de la meilleure manière qui soit"
Le refuge animalier, épaulé par 30 millions d’amis, a décidé de porter plainte contre Thomas Menant. Accusé de "sévices graves, actes de cruauté envers un animal apprivoisé ou domestique", celui-ci est convoqué le 6 septembre prochain au tribunal correctionnel d’Amiens (Somme).
Désireux de s’expliquer sur les faits qui lui sont reprochés, l’éleveur de chevaux a de son côté confié au Parisien que l’animal retrouvé agonisant dans un champ souffrait "d’une myopathie atypique détectée dix jours avant" son départ pour Paris. Le jour J, le candidat de l’émission n’aurait alors "pas jugé nécessaire d’appeler le vétérinaire : le cheval était en train de s’éteindre, il n’était pas dans d’atroces souffrances…". "J’ai traité le poulain de la meilleure manière qui soit", a-t-il ainsi assuré, expliquant avoir installé le jeune cheval sous une bâche, "pour faire paravent" juste avant de partir. L’animal est finalement décédé le lendemain, au terme d’une agonie de plus de 24 heures.