De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Le vrai parisien n’aime pas Paris, mais il ne peut vivre ailleurs", assurait l’écrivain français Alphonse Karr, au XIXème siècle. Un proverbe notamment repris par Le Figaro et qui illustre l’un des soucis de la capitale : ce n’est pas là que l’on vit le mieux. C’est en tout cas ce qui ressort de la récente étude réalisée par Meilleurstaux.com, un courtier en prêt bancaire en vue d’un achat immobilier, ainsi que par Jobijoba, un site dédié à l’embauche et tout particulièrement à l’emploi en ligne. Dévoilé par Europe 1, ce troisième baromètre prends en compte tout un panel de critère pour décider quelle est la ville la plus agréable de l’Hexagone.
Parmi les données importantes, on retrouve les suivantes :
- Le nombre d’offres d’emploi par habitant
- Le niveau des salaires des résidents
- Les taux d’intérêts qui ont cours dans la ville
- Le prix de l’immobilier
L’étude porte, au total, sur 30 communes de France et Paris se hisse péniblement à la 26ème place. Si la ville lumière ne parvient pas à grimper davantage, c’est parce qu’elle est lestée par les prix très élevé en matière d’immobilier. Plus bas encore, on retrouve Nice (28), mais aussi Marseille (29) et Nîmes (30). Ces trois villes font toutes faces à un taux de chômage particulièrement élevé, susceptible de polluer la vie des habitants qui n’arrivent pas à accéder à l’emploi.
Les villes les plus attractives de France : quel critère décisif pour la grande gagnante ?
La commune qui remporte la première place, à l’inverse, a su s’imposer en grande partie grâce à son "tissu industriel" qui, d’après la radio "résiste bien".
Elle bénéficie aussi de prix immobiliers peu élevés, puisque le mètre carré se vend ou s’achète pour moins de 2000 euros, contre plus de 5 000 à Bordeaux et excède les 10 000 euros à Paris. Plus d’explications dans notre diaporama.