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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Qui ne connaît pas Mazarine Pingeot ? Rares sont celles et ceux qui n’ont jamais entendu le nom de la fille adultérine du président de la République. En effet, Mazarine Pingeot est le fruit de l’amour de François Mitterrand, alors marié avec Danielle Mitterrand, et d’Anne Pingeot. Le récit de sa double vie est connu ainsi que documenté. Elle aura duré trente ans et rythmé ses deux septennats, note d’ailleurs Gala, qui s’attarde aujourd’hui sur une autre histoire d’infidélités présidentielles… Peut-être pas moins importante.
Force est de constater, de fait, que François Mitterrand était un habitué des relations extra-conjugales : Anne Pingeot n’était pas sa seule amante ; loin de là. Il a également entretenu une liaison avec Christina Forsne, journaliste et écrivaine Suédoise, rencontrée à l’occasion d’un congrès de l’Internationale socialiste sur le sol du pays scandinave. Il avait alors 63 ans et elle “seulement” 31. Elle est notamment connue pour deux ouvrages sur le chef d’Etat.
Cependant, elle pourrait également être la mère d’un autre enfant caché de François Mitterrand. En effet, pendant leur liaison, la jeune femme est tombée enceinte et a donné naissance en 1988 à un garçon qu’elle appelle Hrav. Ce dernier, qui s’est lancé dans la politique a déjà affirmé être le fils du président français ; quand bien même la paternité n’a jamais pu être prouvée. "Je veux être jugé pour ce que je suis, pas pour qui était mon père. François Mitterrand était mon papa", a-t-il déclaré devant la presse locale qui l’interrogeait à ce sujet.
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