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Selon l'OMS, “il ne faut porter un masque que si on présente des symptômes du Covid-19 (en particulier, la toux) ou si on s’occupe de quelqu’un susceptible d’être atteint de la maladie”. L'OMS ajoute également que le masque n’est efficace que s’il est associé à un lavage fréquent des mains, et à condition d’être mis et retiré correctement.
Toutefois, Lydia Bourouiba, une chercheuse du MIT, a découvert que les gouttelettes qui se déplacent en nuage peuvent parcourir une distance pouvant atteindre 6 mètres avec la toux et 8 mètres avec les éternuements. Suite aux résultats de cette étude, l'OMS a décidé de mettre en place un comité d’experts, dirigé par le professeur David Heymann, afin d'évaluer l'utilité du masque anti-coronavirus.
Interrogé à ce sujet lors du point presse de vendredi dernier (le 3 avril), le directeur général de la Santé Jérôme Salomon s’est montré plutôt favorable à l’utilisation des masques par le grand public, bien que la culture du masque soit encore peu développée en France et en Europe : “les soignants portent des masques en cas de contact à risque et les malades portent des masques [...] mais ça reste un usage très hospitalier”. Tandis que les asiatiques, de leur côté, “ont pris l’habitude de porter des masques quand ils sont malades”.
Quant à l’Académie nationale de médecine, elle encourage le port du masque pour lutter contre la pandémie du coronavirus : “Il est établi que des personnes en période d'incubation ou en état de portage asymptomatique excrètent le virus et entretiennent la transmission de l'infection. En France, dans ce contexte, le port généralisé d'un masque par la population constituerait une addition logique aux mesures barrières actuellement en vigueur".
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