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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Selon les travaux d’une équipe de biologistes chinois, menés par les Dr Le Chang et Lei Zhao et publiés dans la revue Emerging Infectious Diseases, des traces d'ADN du coronavirus SARS-CoV-2 ont été découverts dans des échantillons de plasma issus de dons de sang en Chine. Ces derniers proviennent de donneurs qui ne présentaient pas de symptômes.
Selon Pascal Morel, Directeur médical de l’EFS, "la présence d’un ARN viral dans le sang n’indique pas forcément la présence de virus viable, cela peut aussi être le résultat du travail du système immunitaire qui a détruit le coronavirus. C’est dans ce cas-là inoffensif". Il ajoute "retrouver des génomes de virus dans le sang n’est pas étonnant en soi. Si on cherchait tous les ARN viraux présents dans nos sangs, on tomberait à la renverse. Le système immunitaire tue des virus tous les jours".
Pascal Morel salue le travail réalisé "c’est une équipe connue ayant une très bonne réputation, tout comme la revue qui a publié leur article. Nous n’avons pas de doute sur les résultats". Toutefois, cette étude n’apporte pas la preuve d’une transmission transfusionnelle. "Pour savoir si la présence du génome du coronavirus dans le sang correspond à la présence du virus viable, il faut réaliser des cultures avec l’ARN trouvé dans les échantillons. Nous leur avons écrit pour savoir s'ils avaient des informations à communiquer à ce sujet", précise le Directeur médical de l’EFS.
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