De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le pollen (semence mâle produite par les étamines des fleurs) est la première cause d’allergie printanière avec à peu près 20 % de la population française concernés.
Parfois utilisé pour soulager les symptômes de la ménopause (pollen d’abeille), il reste tout de fois peu apprécié au vu du nombre de personnes allergiques.
Les allergies au pollen peuvent se manifester sous plusieurs formes de symptômes. Le plus fréquent est les picotements et démangeaisons du nez, de la gorge et des oreilles. Mais vient parfois aussi les maux de tête, les éternuements, l’écoulement nasal, et même une aggravation de l’asthme si la personne en souffre déjà.
Pour calmer vos allergies et apaiser vos symptômes, plusieurs astuces sont possibles comme aérez votre intérieur, rincez vos cheveux le soir, ou encore portez des lunettes de soleil.
Combien de départements sont touchés ?
Le Réseau National de Surveillance Aérobiologique (R.N.S.A.) à pour but de poursuivre les travaux réalisés depuis 1985 par le Laboratoire d'Aérobiologie de l'Institut Pasteur à Paris. Son principal objet d’étude est le contenu de l'air en particules biologiques pouvant avoir une incidence sur le risque allergique pour la population. C´est à dire l´étude du contenu de l´air en pollens et en moisissures ainsi que du recueil des données cliniques associées. Selon le R.N.S.A., 28 départements de France sont un peu moins touchés par cette vague de pollen.
Découvrez lesquels dans notre diaporama :