Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
En 2016, en plein pendant le premier procès portant sur le meurtre de la petite Fiona dans le Puy-de-Dôme, sa mère Cécile Bourgeon s’est confiée à une surveillante pénitentiaire. Cette dernière a en effet rapporté que pendant une promenade, la mère de famille lui a fait des révélations. "Je l’ai emmenée en promenade et elle s’est livrée sans que je lui pose de questions sur l’affaire. Elle avait besoin de parler. Je l’ai sentie sincère", a-t-elle expliqué il y a quelques jours devant la cour d’assises de la Haute-Loire pendant le procès en appel de Cécile Bourgeon. La surveillante a ensuite livré ce que l’accusée lui avait dit : "J’ai donné des coups de pied aux fesses à Fiona. Mais sa mort était un accident. J’ai mis le corps dans un sac, à l’arrière de la voiture et j’ai roulé vers Aydat. Je me suis arrêtée entre Aydat et un village dont le nom débute par Cha...". Des éléments clés pour l’enquête que la "confidente" assure avoir aussitôt consignés dans un rapport et transmis à sa hiérarchie.
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"C’était un moment en off, je ne savais pas du tout que ça allait être relayé"
De son côté, la mère de Fiona en a contesté une partie à la barre. "Oui, j’ai dit que c’était un accident mais j’ai toujours contesté avoir mis des coups de pieds aux fesses à ma fille, s’est-elle défendue. Si c’était le cas, je l’aurais dit au premier procès". Et celle-ci d’ajouter : "C’était un moment en off, je ne savais pas du tout que ça allait être relayé".
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