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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
"Une nouvelle réforme sera nécessaire" : le constat de l’Institut Montaigne, think tank libéral, sur la question des retraites est sans appel. Malgré les réformes successives depuis 1993, la question de leur financement "n'est pas réglée", estime-t-il dans un document rendu public mercredi.
L’institut propose ainsi de porter l'âge de départ à la retraite à 63 ans (au lieu de 62 actuellement) et la durée de cotisation à 43 ans dès 2025. L’idée du think tank n’est pas nouvelle mais la loi de 2014 prévoit un allongement de la durée de cotisation plus progressif, d'un trimestre tous les trois ans à partir de la génération 1958, jusqu'à 43 ans (172 trimestres) en 2035, soit pour les générations 1973 et suivantes, précise BFMTV.com.
Et d’autres propositions de l’Institut Montaigne risquent également de faire réagir. C’est le cas notamment du compte de pénibilité, qui permet de partir en retraite anticipée. Ce dispositif est jugé de "piège politique" auquel "il faudrait avoir le courage de renoncer purement et simplement".
Autre suggestion choc : celle de rapprocher les régimes publics et privés, notamment sur la question du calcul des droits. "La pension de retraite des agents de l'État et des bénéficiaires de la plupart des régimes spéciaux est calculée sur les six derniers mois, alors que celle des salariés du privé l'est sur les 25 meilleures années", rappelle L’Express.
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