De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Qui n’a jamais rêvé d’une douce et agréable retraite au soleil ? Après une vie passée à s’échiner pour gagner son pain, l’idée a de quoi séduire jusqu’au plus chauvins des travailleurs. L’expatriation, affirme d’ailleurs le site spécialisé La Retraite en Clair, est "de plus en plus prisée". A l’aube de 2020, 1,2 millions de pensionnés avaient décidé de quitter le sol Français pour un total de 16,7 millions à l’époque. Il faut dire que le processus présente un certain nombre d’avantages ! Certains décident de revenir dans la nation de leurs origines quand d’autres partent essentiellement pour le climat. Bien sûr, il serait naïf d’ignorer les questions fiscales : la possibilité de payer moins d’impôts qu’en Hexagone est souvent une carotte très puissante.
D’une façon générale, la qualité de vie et le pouvoir d’achat jouent des rôles prépondérants. Nul n’ignore, en effet, que les retraités qui quittent notre sol sont généralement ceux qui ont validé le moins de trimestres de cotisations. Par conséquent, ils perçoivent des pensions plus faibles que leurs semblables… et ont donc tout intérêt à trouver un pays d’accueil moins cher. Attention, toutefois ! Partir passer ses vieux jours à l’étranger implique un certain nombre de démarches et il est essentiel de se poser les bonnes questions. Quelle destination choisir, par exemple ? Plus d’informations à ce propos dans le diaporama proposé par Planet sur la base du classement du Figaro actualisé en 2021.
Partir passer sa retraite à l’étranger : les démarches à ne surtout pas perdre de vue
Commencez par envisager le déménagement, bien sûr ! Mais ne perdez pas de vue qu’il faudra aussi penser à votre protection sociale, à la validité des papiers autant qu’aux formalités administratives en vigueur dans le pays choisi pour votre expatriation. Sans oublier bien sûr les impacts fiscaux, qui impliqueront eux-même un peu de paperasse…