De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Un peu plus d’un an après la victoire de François Hollande à l’élection présidentielle, Valérie Trierweiler a accepté de se livrer sur les difficultés qu’elle rencontrées pour se sentir bien dans son nouveau rôle de Première dame. Invitée dans les studios d’Europe 1, la journaliste a ainsi indiqué qu’il lui "a fallu un an d’apprentissage" avant de parvenir à trouver sa place. Et à ceux qui pourraient critiquer sa première année passée à l’Elysée, elle a rétorqué : "Je l'avais dit au départ: je voulais qu'on me laisse le temps, on ne me l'a pas laissé, mais, bon, bah voilà je l'ai pris. (...) Il m'a fallu le temps de prendre mes marques". Et Valérie Trierweiler d’ajouter aussitôt : "Je ne dis pas c’est difficile, il y a de très belles surprises dans cette vie donc, non non, je me réjouis d’être là où je suis aujourd’hui".
"Je ne suis pas une femme politique"
Et alors que la Première dame était invitée à prendre la parole au micro de la radio pour parler du colloque national sur les violences faites aux enfants qu’elle préside ce vendredi au Sénat, celle-ci a tenu à repréciser sa fonction et ses intentions. "Je suis journaliste (…) Je ne me prends pas pour ce que je ne suis pas… Je ne suis pas une femme politique, pas médecin. J’aide peut-être à faire venir quelques médias". Visiblement décidée à sortir de son silence, Valérie Trierweiler devrait poursuivre sur sa lancée dès le 27 juin prochain. Elle sera en effet l’invité d’Alessandra Sublet pour la dernière de C à Vous sur France 5.