La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Nicolas Sarkozy n’y est pas allé avec le dos de la cuillère. Jeudi dernier, il a comparé, dans une tribune publiée au Figaro, les écoutes qui le visaient aux méthodes de la police de l’ex-RDA. L'ancien chef d'Etat se réjouit aujourd’hui de l’impact politique qu’à eu sa sortie, rapporte le JDD. En effet, il est satisfait de sa tribune. Elle a fait mouche et lui a fait retrouver le sourire : "Voilà au moins une tribune que tout le monde aura lue. Il n'y avait plus un Figaro dans les kiosques. Je fais vendre," se serait amusé l’ancien président.
Une émulation qui le place au centre des débats
Nicolas Sarkozy a su affoler ses adversaires politiques de gauche. Ces derniers ont d’ailleurs surréagis : Jean-Marc Ayrault à publié un communiqué, Manuel Valls et Christiane Taubira ont élevé le ton, et même François Hollande, pourtant au sommet européen à Bruxelles, est sorti de son silence.Nicolas Sarkozy savoure d’autant plus l’impact de sa tribune puisqu’il considère que la gauche n’a pas dénoncé "la moindre inexactitude".
Une stratégie de communication offensive
Par cette publication offensive, il compte "remettre l'église au milieu du village", cite également le JDD. L'ex-locataire de l'Elysée fait ainsi d’une pierre deux coups : Il met François Hollande en garde tout en rappelant à son camp qu’il est toujours là et qu’il est reste le leader. Toutefois, aux dires de certains à l’UMP les accumulations d’affaires pourraient bien empêcher son grand retour. De plus, certains ténors de l'UMP, ont peur qu’il ait "tiré trop fort" avec cette comparaison certainement exagérée. Il aurait ainsi provoqué une sorte de clivage au lieu de rassembler.
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