La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Gérard Miller dresse un portrait de Ségolène Royal à travers son parcours professionnel et privé dans un documentaire intitulé "La femme qui n'était pas un homme", diffusé ce soir sur France 3 .
Le psychanalyste revient notamment sur sa traversée du désert qui commence au second tour de l'éléction présidentielle de 2007. Mais aussi sur son retour en force, inattendue, en avril 2014 lors de sa nomiation au ministère de l'Ecologie.
La favorite de François Hollande
Gérard Miller a réussi à interroger le président de la République au sujet de son ex-compagne et actuelle ministre. Poui lui, la "ministre de l'année" représente un véritable "atout" pour les prochaines élections présidentielles.
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Il s'estime chanceux d'avoir croisé la route de Ségolène Royal : "Quand on a la chance de rencontrer Ségolène, on la garde", aurait-il déclaré en privé, selon le magazine Closer.
Une véritable femme en politique
Dans ce documentaire de 90 minutes, Gérad Miller met en lumière le caractère particulier de Ségolène Royal, sa résistance sans faille dans le monde de la politique encore très masculin. Pour le psychanalyste, la ministre assume le fait d'être une femme en politique, "personne n'a jamais considéré que son principal atout était d'être bien membrée (...) Elle n'est pas obligée de prouver à la cantonnade qu'elle en a", a-t-il ajouté.
Ségolène Royal a donc construit son parcours politique "en opposition avec les hommes". " Les hommes l'ont toujours poignardée dans le dos, à commencer par son père, réactionnaire, antisémite, contre lequel elle a dû lutter en allant à l'école, notamment", raconte Gérard Miller dans une interview au Parisien.
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