La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
C’est une entrée remarquée : celle de Rachida Dati au bureau politique des Républicains. Le président du parti de droite, Nicolas Sarkozy "tenait beaucoup à cette nomination. Il préfère avoir Rachida avec lui que contre lui", explique un proche du président à Paris Match.
En effet, la députée européenne avait dénoncé sur le plateau d ’Itélé, une "cabale politique" contre elle et notamment par "l’entourage de Nicolas Sarkozy" qui voudrait "l’abattre".
Le Point a révélé la semaine dernière que la Cour des comptes avait constaté des factures de vêtements de luxe dans le budget du ministère de la Justice en 2008 et 2009 lorsque l’ancienne ministre officiait comme garde des Sceaux.
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Rachida Dati a également menacé de ne plus "se taire" : "On m’avait proposé d’écrire des livres, de révéler des choses, j’ai toujours refusé. Parce que ce n’est pas mon genre, je ne suis pas dans les années 40 ou 30 en France. Voilà. Mais maintenant, trop c’est trop", s’est-elle indignée face au journaliste.
L’ex-garde des Sceaux avait été vice-président sous la présidence de Jean-François Copé. Elle assure, par ailleurs, n’avoir "rien demandé, ni souhaité !".
Un bureau politique plus important pour ne fâcher personne
Pour les nominations des personnalités du bureau politique de l’UMP, Nicolas Sarkozy n’a voulu fâcher personne, comme l’explique Le Monde : "Il a fallu faire de la place à ces nouveaux et Nicolas Sarkozy ne voulait surtout pas se mettre à dos les anciens membres. Il a donc décidé de ne pas trancher en reconduisant quasiment tous les membres sortants, quitte a inventer une nouvelle catégorie d’appartenance".
Le président de l’UMP ne souhaite pas raviver les tensions qui ont déchiré le parti.
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