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Alors que Barack Obama vient de reconnaître sa "pire erreur", focus sur tous ces hommes politiques qui sont passés un jour par la case mea culpa.
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Barack Obama

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Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a confié dimanche à la chaîne Fox News que sa "pire erreur" avait été le manque de suivi après l'opération militaire en Libye, alors que le pays est actuellement en plein délitement.

Nicolas Sarkozy

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Dans son dernier livre, La France pour la vie, le président des Républicains a fait son exercice de mea culpa. Parmi les erreurs qu'il reconnaît volontiers : le fameux "Casse-toi pauv'con", la croisière sur le yacht de Vincent Bolloré, le dîner aux Fouquet's et puis les 35 heures, l'ISF, mais aussi l'ouverture à gauche quand il était président.

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François Hollande

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En septembre 2015, le président de la République a révélé la première erreur de son quinquennat dans le livre (Le stage est fini) de la journaliste du Monde Françoise Fressoz. Le chef de l'Etat a admis être allé "trop loin" en supprimant la hausse de TVA décidée par Nicolas Sarkozy en 2012. 

Jean-François Copé

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Tout comme Nicolas Sarkozy, l'ancien président de l'UMP a sorti un livre (Le sursaut français) pour faire son introspection. Il est ainsi revenu sur la guerre qui l'a opposé à François Fillon pour prendre la tête du parti de droite. "J'ai vraiment remporté cette élection" mais "j'ai mesuré combien mon obstination à vouloir avoir raison contre tous était absurde", écrit Jean-François Copé dans Le sursaut français.

Invité sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel, diffusé mardi 19 janvier sur France 3, il a par ailleurs confessé avoir eu une "addiction médiatique" : "Il faut avoir un avis sur tout. (...) Moi j'étais très fort pour ça. J'étais capable d'avoir un avis sur tout, tout le temps. (...) Je répétais les mêmes formules, les mêmes phrases, les mêmes tics."

Dominique Strauss-Kahn

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Le 18 septembre 2011 sur TF1, l'ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI) confessait en direct sa "faute morale" dans l'affaire du Sofitel de New York. Il a reconnu avoir eu "une relation inappropriée" avec la femme de chambre Nafissatou Diallo.

Lionel Jospin

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Battu au premier tour de l'élection présidentielle de 2002, le candidat socialiste avait reconnu avoir "péché par naïveté" sur la question de l'insécurité. Un aveu qui avait permis à son concurrent, Jacques Chirac, de lancer en guise de pique : "La naïveté n'est pas une excuse. En l'occurence, c'est une faute."