De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Depuis sa nomination au poste de secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa a reçu de nombreuses menaces de mort et de viol. C’est ce qu’elle a confié ce mardi à l’animateur Yann Barthès, dans son émission Quotidien, diffusée sur TMC.
"Comme tous les membres du gouvernement, j'ai un officier de sécurité, qui n'est pas loin de moi. Ce sont des menaces de mort ou de viol reçues depuis que j'ai été nommée au gouvernement", a-t-elle affirmé. La secrétaire d'Etat est la cible de nombreuses critiques notamment dues à la proposition d'extension de la PMA (procréation médicalement assistée) à toutes les femmes, une promesse du candidat Emmanuel Macron.
A lire aussi : Qui est Marlène Schiappa, la benjamine du gouvernement ?
Marlène Schiappa a interdit à ses filles d’aller sur Internet
Comme le rappelle Closer, Marlène Schiappa est mère de deux filles. Pour ne pas les confronter aux invectives qu’elle subit sur les réseaux sociaux, la secrétaire d’Etat leur a interdit l’accès à Internet. "Je n'ai pas envie qu'elles aillent sur internet, voir ce qu'il se dit de leur mère, et qu'elles prennent à cœur pour elle ce qui ne sont que mes problèmes et mes sujets", a-t-elle expliqué.
Les récentes déclarations de Marlène Schiappa au sujet de la PMA ont déplu au gouvernement, dont certains membres n'approuvent pas sa méthode. Dans un article publié ce mardi, Le Parisien a révélé qu’un "conseiller ministériel" et un "proche du chef de l’Etat" ont taclé en off la jeune femme. "Elle s'est exprimée au mauvais moment, ce n'était pas prévu. Le président ne veut pas renouer avec la pratique hystérique du débat de société", a dénoncé ce dernier.
Vidéo sur le même thème : Faut-il élargir la PMA à toutes les femmes ?