De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Législatives 2024 : Macron démission !
Il n'y a pas que dans les cortèges de manifestants qui défilent depuis les Européennes et l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par le président de la République que l'on clame haut et fort : "Macron démission". Le Rassemblement national, très confiant après les résultats du premier tour des élections législatitves, avait été le premier parti à le demander. Après la parution des sondages de projection du nombre de sièges parus la semaine dernière, Jean-Luc Mélenchon lui avait emboîté le pas au journal de 20h de TF1.
Le leader de la France Insoumise et du Nouveau Front populaire, ce dernier étant désormais la prémière force politique du pays, avertissait à propos du Président qu'en cas de majorité "introuvable", "la solution pour sortir de l'impasse, c'est qu'il s'en aille". Et de renchérir : "C’est d’ailleurs assez normal, c’est lui qui est le responsable de la pagaille"
Législatives 2024 : une majorité introuvable... pour l'instant
Les trois grands blocs (NFP, Ensemble, RN) doivent désormais négocier pour obtenir au moins une majorité relative. Jean-Luc Mélenchon exclue déjà toute alliance avec un groupe qui n'appliquerait pas la politique voulue par LFI. Ce qui risque d'être le cas de la plupart d'entre eux... En revanche, d'après-lui, il n'est pas impossible que les Macronistes acceptent de participer à une alliance de toute les droites (avec le Bloc-central, LR, et LR-RN). «Ils ont l'habitude de faire des choses ensemble et leur programme est assez voisin». Mélenchon devra donc attendre encore un peu avant de demander la démission d'Emmanuel Macron. Mais comme l'affirmait le père de ce dernier, Jean-Michel : "il n'en n'a pas l'intention".