271 000. C’est le nombre de victimes de violences conjugales en 2023, soit une hausse de 10% en un an en France. Voici les départements particulièrement concernés.
Comment un ministre des Affaires étrangères a-t-il pu commettre une bourde de la sorte ? La question se pose au lendemain de l'interview de Jean-Marc Ayrault par France 2, quelques minutes avant le défilé du 14 juillet à Paris.
Au micro de la chaîne publique, l'ex-Premier ministre détaillait le contenu de son entretien avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry, venu assister à la cérémonie. C'est alors que le locataire du quai d'Orsay a parlé de la ville d'Alep, en Syrie, comme d'une ville "assiégée par les troupes de Saddam Hussein", l'ancien dictateur irakien exécuté par pendaison le 30 décembre 2006 suite à l'invasion américaine en Irak.
Une seconde bourde
Visiblement, Jean-Marc Ayrault ne sait pas rendu compte de sa bévue puisqu'il a enchaîné sans sourciller sur le rôle joué par les Russes dans le conflit syrien.
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Mais sur les réseaux sociaux, les responsables politiques et internautes n'ont pas manqué de moquer la phrase du ministre qui n'en est pas à sa première bourde.
Pas plus tard qu'en mars dernier, l'ancien Premier ministre avait parlé du groupe armé "Jamal al-Nostra", un groupe qui n'existe pas. Le locataire du quai d’Orsay voulait sans doute parler du "Front al-Nosra", groupe terroriste aussi appelé "Jabhat al-Nosra".