Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
A l’occasion des un an du Penelope Gate en janvier, François Fillon est revenu sur le devant de la scène. Hasard du calendrier, c’est également récemment qu’ont été décernés les prix du mensonge en politique, un concours créé par Thomas Guénolé, politologue proche de La France Insoumise, et désormais présidé par le docteur en sciences politiques, Clément Viktorovitch. Ce dernier ainsi que le jury, ont décidé de remettre à François Fillon, le grand prix 2017.
Marianne, qui faisait partie des jurés, explique que la décision a été prise à l’unanimité au regard des différentes déclarations de l’ancien candidat : promettre de retirer sa candidature en cas de mise en examen, ce qu’il n’a pas fait, assurer à tord que les médias ont annoncé le suicide de sa femme, ou encore mentir sur le vrai rôle de sa femme à ses côtés.
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Darmanin, Castaner, Marine Le Pen…
Outre François Fillon qui a reçu le grand prix, d’autres personnalités ont été récompensées à l’instar de Marine Le Pen. La chef de file des frontistes a été honorée du prix "Jacques Dutronc" du retournement de veste pour "abandon non-assumé de la sortie de l’euro". Pour avoir rejoint les rangs macronistes après avoir pourtant promis loyauté au vainqueur de la primaire de gauche, Manuel Valls et François de Rugy ont eu droit au prix "Brutus" de la trahison.
Enfin, Christophe Castaner, le patron de La République en Marche a reçu le prix spécial du jury pour "l’ensemble de son œuvre", alors que le ministre des Comptes publics, Gérard Darmanin est salué par le prix du jeune espoir. En cause, sa déclaration selon laquelle "une très grande majorité de Français" va recevoir "environ un treizième mois par an" grâce aux premières mesures du quinquennat d’Emmanuel Macron.