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Ce mercredi 21 août, dans un entretien accordé au Parisien, l’ancienne première ministre, Elisabeth Borne, annonce vouloir briguer la présidence du Renaissance, le parti d’Emmanuel Macron. Elle souhaite “rassembler de façon très large” car il est “vital” de “préserver l'unité de ce parti”.
Le parti Renaissance “n’a pas vocation à être une chapelle ou une écurie présidentielle”, estime la députée du Calvados, réélue lors des législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet dernier. “Avec cette Assemblée, personne ne va appliquer son programme.
Cette instabilité politique redonne un rôle différent aux partis politiques : on a besoin qu’ils redonnent de l’espoir aux Français, qu’ils élaborent une vision, un projet pour le pays. Je veux mettre mon expérience au service de ce travail, avec humilité et beaucoup de collégialité”, a-t-elle expliqué.
Gabriel Attal pressenti
Elisabeth Borne s’est également exprimée sur la possible candidature de Gabriel Attal. “Gabriel Attal est président de notre groupe à l’Assemblée nationale et c’est très important, car on a besoin de son énergie et de son talent. Il l’a dit lui-même, son objectif c’est le groupe. Je pense donc qu’il souhaite continuer à le diriger, plutôt que de devenir secrétaire général du parti, ce qui l’amènerait à quitter le groupe”, a répondu l’ancienne première ministre.
“Traditionnellement, il n’est pas d’usage d’être président de groupe en même temps que l’on dirige le part i”, a-t-elle insisté.
Ce vendredi 23 août, le chef de l’Etat entame une série de consultations des partis et groupes politiques du Parlement à l’Elysée pour la nomination du Premier ministre, tant attendu.