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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Du samedi au lundi prochain, l'hexagone accueillera les dirigeants des sept grandes puissances mondiales pour le G7. La France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, le Japon, l'Italie et le Canada se retrouveront à Biarritz.
Mercredi dernier, la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a dévoilé le coût du sommet à l'issue du conseil des ministres de la rentrée.
Une enveloppe de 36,4 millions d'euros a été votée.
"Un chiffre très largement inférieur aux chiffres qu’on a pu connaître pour les sommets précédents que ce soit au Canada ou en Italie" a-t-elle annoncé.
Un dispositif exceptionnel a été mis en place dans la ville du sud-ouest. Selon l'AFP, 13 200 policiers et gendarmes seront mobilisés, accompagnés de militaires en vue du contre-sommet et des manifestations prévues en marge de l'événement.
La porte-parole du gouvernement a précisé que des mesures ont été prises afin de limiter les frais liés à l'organisation du G7, dans le "souci de préservation des deniers publics".
Ainsi, le gouvernement a "fait appel au mécénat d’un certain nombre de grandes entreprises" et a "fait le choix de (s')appuyer sur des structures existantes" dans le but de limiter le nombre de constructions à réaliser.
Le dernier sommet organisé en France date de 2011, sous la présidence Nicolas Sarkozy. Cette année, le thème du G7 sera "la lutte contre les inégalités" concernant notamment le climat et la lutte contre le terrorisme.
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