La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Inflation oblige, les Françaises et les Français peinent à mettre de l’argent de côté. Pire ! Quand ils y arrivent, ils réalisent bien souvent que les produits auxquels ils ont l’habitude de souscrire ne sont désormais plus suffisants pour préserver leur patrimoine de la hausse des prix à la consommation. L’assurance vie et le livret A, si appréciés soient-ils, n’offrent généralement pas un rendement assez important. Est-ce à dire qu’il faut donc les oublier ?
Pas nécessairement : ces deux produits présentent aussi d’autres avantages et permettent, par exemple, une bonne diversification de son épargne. Or, rappelle l’économiste Philippe Crevel dans nos colonnes, ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier constitue l’une des règles de base en matière de protection contre le risque.
En outre, il arrive aussi que certains produits moins rentables permettent la préparation de la cessation d’activité, voire la sortie en rente. Plus d’informations à ce propos dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de cet article.
Faut-il sortir en rente ou en capital ?
La sortie en capital permet de récupérer le montant total épargné en une seule fois. Parfois, il est possible de séquencer la réception de l’argent, mais ce n’est pas systématique.La rente, pour sa part, constitue un pari sur la mort : d ans certains cas elle permet de toucher davantage que la somme initialement investie - quand le bénéficiaire vit assez longtemps. Dans le cas de figure inverse, en revanche, la situation est moins avantageuse.
Du reste, il faut se questionner sur les impacts fiscaux d’une sortie en rente ou en capital avant de se décider. Tout dépendra alors du produit d’épargne choisi.