Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Qui l'aurait cru. A voir Julien Clerc, tout juste 67 ans et presque pas une ride, on a du mal à croire que celui qui s'astreint à une hygiène de vie drastique depuis des années ait pu commettre quelques excès. Et pourtant. C'est dans une interview accordée à VSD que le chanteur se confie sur une période où il n'était pas aussi regardant sur les substances dont il alimentait son organisme. Julien Clerc avoue avoir pris la drogue, ce qui a d'ailleurs bien failli mettre sa carrière en danger.
"J'avais du mal à finir mes semaines"
"Ah un moment, j'ai pris des trucs, mais ça relevait davantage de l'attitude, de la posture, tout le monde le faisait. Mais j'ai un corps qui ne supporte pas bien tout ça" explique-t-il au magazine. "Mon dernier pétard date d'il y a vingt-cinq ans. J'avais terminé allongé dans l'herbe, avec l'impression que je mourais. Quant à la coke, c'était encore avant. Mais ça me faisait mal au nez, ça me coulait dans la gorge, c'est très mauvais pour un chanteur". Julien Clerc avoue avoir eu de la chance, même si c'est aussi grâce à son manager qu'il a limité les dégâts. "Je suis passé au travers de tout ça sans trop me bousiller les cordes vocales. Mais cette époque de déconne est celle où j'ai chanté le moins bien. J'avais du mal à finir mes semaines. C'est Bertrand de Labbey (son manager, ndlr) qui m'a alerté : "votre capital, c'est votre voix. Si vous continuez comme ça, vous n'en aurez plus"".
Mais tout cela est bien loin aujourd'hui. Julien Clerc s'apprête à sortir la semaine prochaine son 23ème album.