De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La théorie du complot concernant la mort de la princesse Diana le 31 août 1997 a la vie dure. La police britannique vient toutefois d’écarter cette thèse, relancée l’été dernier à l’occasion du procès de Danny Nightingale, tireur des SAS, les troupes d’élite de l’armée britannique, poursuivi pour possession illégale d’armes. Plusieurs médias britanniques avaient alors affirmé que, selon des informations dévoilées à l’occasion du procès, les troupes du SAS seraient « responsables de la mort de ma princesse Diana ». Selon la police, il n’y a « pas de preuves crédibles ».« Il n'y a pas de raison probante »Mi-août, les services de police avaient indiqué « examiner des informations récemment communiquées » pour en « évaluer la pertinence et la crédibilité ». Le communiqué publié ce lundi soir indique que « la conclusion finale est que, bien qu’il y ait une possibilité que les déclarations supposées sur l'implication des SAS dans ce décès aient effectivement eu lieu, il n'existe aucune preuve crédible pour soutenir l'idée que ces allégations aient un quelconque fondement ». « En conséquence, le Service de police métropolitaine (MPS) est persuadé qu'il n'y a pas de raison probante pour ouvrir une enquête criminelle » a-t-il été précisé.Un décès accidentelToutes les enquêtes menées sur l’accident de voiture qui avait coûté la vie à la princesse Diana et à Dodi Al-Fayed dans le tunnel du pont de l’Alma à Paris, avaient écarté la thèse de l’assassinat. Selon les enquêtes menées par les polices française et britannique, c’est la vitesse et le taux d’alcoolémie du chauffeur, qui tentait d’échapper aux paparazzis, qui sont la cause de l’accident. En 2006, une enquête menée par un ancien responsable du MPS, avait également écarté l’hypothèse du meurtre.
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