Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Le jeune garçon qui passait ses vacances, chez ses grands-parents, au hameau du Haut-Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence, est introuvable depuis le 8 juillet. Mais alors que le petit Emile, 2 ans et demi,estporté disparu depuis plus de deux mois, l'affaire continue de faire parler. En effet, c'est sur un réseau social qu'un groupe de prière prend la parole, pour poster un appel à la prière."Nous lui demandons expressément, (à la Sainte Vierge), le retour d'Émile sain et sauf avant le 7 octobre 2023, fête du saint Rosaire", avait écrit le groupe le 14 septembre dernier.
Ce message troublant fait régir les internautes, qui se demandent s'il n'est pas un avertissement à de possibles ravisseurs, plutôt qu'un appel à la prière. Si la communauté chrétienne s'est mobilisée dès le début de la disparition de l'enfant, ce message, qui fait penser à un ultimatum, vient semer le trouble chez de nombreux internautes."'Ce message ressemble à une sorte d’injonction avec une date butoir, comme s'il s’adressait, entre les lignes, à des ravisseurs', souligne un internaute interloqué qui suit cette affaire sur les réseaux sociaux", comme nous le rapporte nos confrères de La Dépêche. Depuis ce post sur Internet, des théories font surface, plus incroyables les unes des autres.Mais pourquoi la date du 7 octobre est-elle mentionnée dans ce message ?
Affaire Emile : dans l'attente d'un miracle
Le 7 octobre est la fête du Rosaire, qui est "une série de prières composées de quatre chapelets. Historiquement, la Vierge Marie aurait confié ce Rosaire àSaint-Dominique, entre le XII et XIII ème siècle. C'est dans la prière que les Dominicains se réfugient, à l’époque, pour combattre les hérésies.Dans ces suppliques, il est aussi question de mystères "joyeux", "lumineux", "douloureux"…". C'est pourquoi, le post écrit par le groupe de prière sur les réseaux sociaux, mentionne cette date. Si pour le moment, la disparition du jeune enfant reste inexplicable, la communauté Chrétienne continue de garder espoir en faisant circuler cet appel à la prière sur Internet.
Aucun scénario n'est àexclure
Si les fouilles et les recherches n'ont pour le moment donné aucunes pistes concluantes, une source judiciaire se confie auprès du groupe de presse. Cette dernière admet que "les juges d’instruction n’écartent pas la thèse d’un accident", même si l'enquête est ouverte, depuis la fin du mois de juillet pour enlèvement et séquestration. La même source indique qu'aucun scénario n'est à exclure et qu'il faut "faire preuve de souplesse d’esprit dans la réflexion et ne pas avancer avec des œillères".