
Quatre mois après le verdict du procès des viols de Mazan, l’ancienne maison de Dominique et Gisèle Pelicot laisse une cicatrice dans le cœur des habitants due ce village du Vaucluse.
En la matière, ce sont les juges qui ont tranché. La Cour a écouté le banquier expliquer qu’il avait finalement dirigé son client vers d’autres supports plus rentables et qu’il avait donc compensé les pertes occasionnées. Cela n’annule pourtant pas le préjudice ont établi les magistrats.
Dès lors, celui-ci est équivalent à l’argent perdu pendant la période de mauvais conseil. Il peut cependant être diminué par un coefficient visant à souligner la possibilité que même bien informé, un client demeure maître de ses choix et aurait donc pu, lui-même, se tromper, indique Le Revenu.