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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
C’est une information qui risque de faire beaucoup réagir. Le gouvernement a annoncé cette semaine que le jour de carence des fonctionnaires sera rétabli dès 2018.
"Même si le jour de carence ne doit pas être le seul instrument pour lutter contre l’absentéisme des agents, qui est aussi la conséquence de souffrances d’une partie d’entre eux (...), il permet de lutter contre le microabsentéisme qui désorganise les services, alourdit la charge de travail des collègues en poste et coûte environ 170 millions d’euros par an", a expliqué jeudi le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, cité par Le Monde.
Concrètement, ce jour de carence correspond à une journée pendant laquelle le fonctionnaire ne touche pas de revenu, avant de pouvoir recevoir des indemnités ou une allocation pour son arrêt maladie les jours suivants. Pour être encore plus précis, cela veut tout simplement dire qu’il ne touchera pas d’argent le premier jour de son absence.
Ce jour de carence pour les fonctionnaires avait été supprimé par François Hollande en janvier 2014. Mais pas pour les salariés du privé, qui ont, eux, des contraintes plus importantes puisque le délai de carence en cas d’absence pour maladie est de trois jours.
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