De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Après le choc, l’attente. Delphine Jubillar a disparu il y a six semaines, après avoir quitté son domicile de Cagnac-les-Mines (Tarn), supposément dans la nuit du mardi 15 au mercredi 16 décembre. Partie avec son téléphone portable et sa doudoune mais sans ses papiers d’identité, la jeune femme a laissé derrière elle son mari – avec lequel elle était en procédure de divorce – et ses deux enfants en bas âge. Est-elle partie volontairement, seulement une semaine avant Noël ? Les enquêteurs semblent de moins en moins y croire, à mesure que les jours passent…
Affaire Jubillar : la discrétion des enquêteurs
En cette dernière semaine de janvier, les fouilles se poursuivent autour du village de Cagnac-les-Mines, à en croire deux habitants cités par France Bleu. Auprès de la radio locale, ils expliquent que les gendarmes "étaient encore ici il y a deux jours" et qu’"ils étaient une vingtaine à fouiller ce petit talus qui n’appartient à personne". Des plongeurs continueraient également à sonder les cours d’eau des environs, dans un rayon allant jusqu’à 20 kilomètres autour du village.
C’est donc l’attente qui prime désormais dans l’affaire Delphine Jubillar, car les enquêteurs travaillent "extrêmement discrètement" selon France Bleu. Evoquant une centaine d’auditions et le bornage des téléphones, la radio rappelle que des analyses minutieuses ont eu lieu dans la maison du couple au début du mois de janvier. Les résultats, eux, n’ont pas filtré… Et pourraient rester confidentiels. De nombreux membres des forces de l’ordre sont mobilisés depuis le début, mais l’enquête pourrait se ralentir dans les semaines à venir si aucune découverte majeure n’est faite prochainement.