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Moutarde, huile de tournesol, chips… Cette année, les pénuries se sont multipliées et ont atteint de nombreux rayons de nos supermarchés. Ainsi les consommateurs ont adapté leur comportement, changé leur manière de consommer, pour faire face à ces ruptures de stocks qui pouvaient parfois durer des jours voire des semaines dans de rares cas.
Avant la crise provoquée par la pandémie, la guerre en Ukraine ou encore des événements météorologiques, les taux de ruptures de produits avoisinaient généralement les 2%. Aujourd’hui il se situe entre 10% et 12%, a déclaré Dominique Schelcher, le PDG de Système U, auprès du Journal du Dimanche.
Supermarchés : de nouvelles ruptures de stock à venir ?
"Chez Système U, nous n’avons toujours pas retrouvé le rythme habituel d’approvisionnement alimentaire antérieur à la crise sanitaire. À la fin de l’année dernière, l es premières tensions sur les matières premières se sont fait sentir, liées à une très forte reprise économique – avant le déclenchement de la guerre en Ukraine, des signes d’inflation étaient déjà perceptibles", explique-t-il à nos confrères.
Mais d’autres pénuries pourraient encore survenir dans les mois à venir. En raison de la crise de l’énergie, certains producteurs ou agriculteurs vont ainsi devoir faire des choix, tr oquer la volaille contre les céréales par exemple. "D’où un risque accru de plus grande dépendance aux importations. Dans quelques semaines ou quelques mois, des produits habituels risquent de faire défaut dans les rayons", estime Dominique Schelcher au JDD.
Ainsi, pour faire face et prévoir ces situations, les supermarchés ont mis en place différents stratagèmes qui leur permettent de diminuer les risques de ruptures. Voici lesquelles.