De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La saison des araignées-loups approche. Ne prenez pas tout de suite vos jambes à votre cou ! Pour éviter les invasions - qui surviennent généralement une fois l’hiver venu - encore faut-il pouvoir les reconnaître. Ces petits arachnides - les araignées n’appartiennent pas à la famille des insectes ! - n’excèdent pas trois centimètres, la plupart du temps. Elles possèdent, rappelle le magazine Géo sur son site huits yeux. Ils sont répartis sur trois niveaux, ce qui les rend assez faciles à identifier.
En pratique, on en trouve deux gros sur le dessus de son crâne, puis une rangée de quatres moins imposants juste en dessous. La dernière ligne n’en compte donc que deux, encore en dessous. Contrairement à la plupart des araignées que vous connaissez, elles ne tissent pas de toiles. Ce sont d’excellentes chasseuses au sol, qui, comme les loups, travaillent souvent en meute de sorte à pouvoir cerner et rabattre leurs proies. Elles s’en prennent souvent à des criquets ou des chenilles, poursuivent nos confrères.
L’araignée-loup porte ses oeufs sur le torse
En outre, les araignées-loups portent leurs œufs sur l’abdomen à l’aide d’un cocon de soie. Passée l’éclosion de ces derniers, elles transportent aussi les petits sur son dos jusqu’à maturité.
Rassurez-vous, les araignées-loups ne sont pas particulièrement dangereuses. La morsure peut être douloureuse et, dans des cas extrêmes, est susceptible d’entraîner une nécrose. Pour l’essentiel, les risques sont très limités. En cas de doute, néanmoins, il est intéressant de consulter un médecin.
Enfin, pour éviter toute invasion au domicile, pensez à boucher les trous chez vous ! C’est là qu’elles se cachent quand les températures baissent.