
Le 1er avril sera à nouveau un mois de changements et de nouveautés pour de nombreux compatriotes. Aides sociales, aides au logement, conditions de voyage, frais de notaire... Il y aura du bon et du moins bon pour...
Certains d'entre eux battent le livret A à plate couture. Les taux de rendement des produits d'assurance-vie enregistrés en 2024 sont dévoilés ces jours-ci par les établissements qui les commercialisent (vous trouverez la liste à jour au 9 janvier dans le diaporama ci-après).
Ce chiffre est important, puisque c'est lui qui peut vous renseigner sur ce que votre placement vous a rapporté. Le taux moyen servi en 2024 atteindrait 2,6% selon MoneyVox.
Attention, ces taux pour 2024 ne préjugent pas des rendements obtenus à l'avenir. Autre point notable: les taux le plus souvent indiqués sont nets de frais de gestion, mais pas d'impôt.
Pour rappel, la souscription d'un contrat d'assurance-vie induit des cotisations régulières en vue de la constitution d'une épargne. Selon les supports, le mode de calcul des intérêts varie. Il peut s'agir de supports en euros, en unités de compte ou bien "multi-supports."
Dans le cas des contrats en euros, les fonds sont garantis, cela signifie qu'en principe, vous ne pouvez pas subir de perte. En revanche, les fonds en unité de compte ne garantissent que le nombre d'unités et non les sommes totales épargnées. Quant à la troisième forme, elle mêle les deux types de supports, en euros et en unités de compte.
En cas de décès de la personne qui a souscrit le contrat, il continue de produire des intérêts tant que les démarches administratives ne sont pas réalisées, puis le capital ou la rente est versé au bénéficiaire désigné.
Il peut arriver que des héritiers ignorent l'existence d'un contrat d'assurance-vie souscrit par leur proche ou par un parent éloigné dont ils sont légataires. Dans ce cas, les compagnies concernées ont en principe l'obligation de les retrouver, et peuvent dès lors faire appel à des généalogistes successoraux pour cela.