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Faut-il encore craindre un boom des divorces ? La pandémie de coronavirus Covid-19, peut-être autant que les confinements et autres couvre-feux mis en place pour lutter contre son expansion, pourrait avoir fragilisé les histoires d’amour des Françaises et des Français. En témoignent les désirs de rupture exprimés par plus d’une personne sur quatre en couple (27%), dont Le Dauphiné se faisait l’écho en août dernier ; sur la base d’une étude réalisée par l’Ifop pour le site de préparation au mariage YesWeBloom.com. En majorité, cependant, ce sont les plus couples les plus jeunes qui sont le plus frappés par ce phénomène (50% d’entre eux sont concernés). Passé 60 ans, seuls 14% des ménages ont exprimé ce genre d'ambitions.
Dans les faits, poursuivent nos confrères, ces envies n'ont pas nécessairement été suivies d’effets très clairs. Force est de constater, ceci étant, que les Françaises et les Français se sont montrés moins fidèles passées les premières mesures de restriction des déplacements ; ainsi qu’a pu l’expliquer Planet, sur la base de la dernière étude du site de comparateur de plateforme de rencontre Mon petite date. Difficile d’affirmer, soutiennent cependant les experts du site, que la crise sanitaire ait poussé les uns et les autres à tromper leur moitié.
Divorce : combien faut-il s’attendre à payer ?
Rappelons d’abord, comme le fait Capital, qu’il existe plusieurs types de divorces. Le divorce pour acceptation, sur lequel se penchent nos confrères, implique que les deux conjoints sont d'accord sur le principe même de la rupture… mais pas sur les modalités de la séparation. Pour l’essentiel, les divorces contentieux - c’est-à-dire ceux impliquant un désaccord d’une sorte ou d’une autre - sont plus chers que les divorces à l’amiable en France.
Ainsi, le coût moyen d’un divorce par consentement mutuel, qui doit être réalisé par un avocat, est compris entre 1 200 et 4 000 euros, informe l’avocat Matthieu Gallet sur son site. Le prix d’un divorce contentieux démarre plus haut, aux alentours de 2 500 euros pour la simple rupture de mariage. Le divorce accepté coûte environ 3 500 euros et le divorce pour faute peut s’avérer plus onéreux que 4 000 euros encore.
Pour autant, ce n’est pas le seul élément à prendre en compte quand on est retraité.
Le divorce à la retraite, quelles conséquences ?
Le divorce, une fois à la retraite, pose un certain nombre de questions auxquelles l’on n’aurait peut-être pas réfléchi en tant qu’actifs. La pension de réversion en fait partie… Mais ce n’est pas nécessairement la seule. La division du patrimoine ; après des années d’union, est d’autant plus importantes qu’un certain nombre de biens peuvent s’avérer indispensables à l’approche du grand-page ou de la dépendance. C’est le cas de la maison qui, malheureusement, ne peut pas toujours revenir aux deux partis, souligne justement le site spécialisé Cap retraite. La valeur économique d’un bien n’est pas nécessairement la plus importante à prendre en compte.
Gardez également en tête que le divorce peut interdire l’accès à certaines pensions de réversion. La situation est susceptible de changer considérablement d’un statut professionnel à un autre.
Pourquoi les retraités divorcent-ils une fois la cessation d’activité passée ?
Les divorces à la retraite peuvent sembler incompréhensibles : ils surviennent souvent après des années d’une union en apparence solide. Seulement, ils sont régulièrement provoqués par des raisons simples à envisager : l’infidélité, l’ennui, l’envie d’indépendance, les problèmes d’argent, l’éloignement… Le changement de rythme passée la cessation d’activité peut aussi venir amplifier des problèmes préexistants mais moins prégnant du fait d’un moindre temps passé en compagnie de sa moitié pendant la carrière.