Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Quel est le record de la pire vente dans Affaire conclue ?
Dans l’histoire de l’émission Affaire conclue, il y a des gagnants et des perdants. Chaque après-midi sur France 2, Sophie Davant accueille plusieurs candidats désireux de conclure une bonne affaire en revendant des objets de valeur, trouvés au fond de leur grenier ou chinés dans les brocantes. L’occasion pour eux d’en tirer un maximum de bénéfice après estimation des commissaires-priseurs, et la vente aux enchères auprès des acheteurs.
Quand certains chineurs arrivent à revendre une pièce de collection pour une somme record, d’autres moins chanceux ne repartent qu’avec un maigre lot de consolation. À l’image de Benoit, un paysage normand, qui a souhaité vendre un plat vintage ébréché en forme de navet (ou de radis selon l’appréciation) le 12 octobre dernier dans l’émission de France 2.
Face à Sophie Davant et le commissaire-priseur du jour Harold Hessel, l’affaire semblait déjà vouée à l’échec pour le candidat. "Sans ce petit accroc, j'aurais pu estimer cet objet 10 euros, mais à cause de cet accident sur l'objet, je vous l'estime à seulement 5 euros", a jugé le professionnel en plateau. La suite des hostilités ne semblait guère réjouissante en salle des ventes.
Malgré l’enthousiasme du participant, les quatre acheteurs étaient sceptiques à l’idée d’acquérir ce banal objet. Après de pauvres enchères, la vente du plat était actée par Diane Châtelet pour la somme dérisoire de 4 euros. Soit le record de la pire vente jamais enregistrée dans l’histoire d’Affaire conclue. "La vente s'est bien passée. J'ai vendu mon objet à petit prix, mais j'étais surtout venu pour participer, c'était un tour de chauffe et je compte revenir avec un meilleur objet", a confié Benoît, cité par Télé Loisirs, après son passage dans l’émission. Avant cela, l’acheteuse Caroline Margeridon avait conclu un accord avec une candidate en remportant un pichet en émaux pour seulement 5 euros.
Un vendeur agacé que son objet soit cassé après expertise
Attention bien fragile. Quand on vous affirme que les bibelots apportés par les candidats ont une importance à leurs yeux, il suffit d’un imprévu pour lui faire perdre de sa valeur. C’est ce qui est malheureusement arrivé à Gilles, un habitué d’Affaire conclue, ce 7 janvier 2021.
Lors de son passage dans l’émission, le chineur de 61 ans, originaire de Bron (en région lyonnaise), est venu faire évaluer une statue qu’il a dénichée par hasard dans des cartons, non loin d’un feu de poubelle dans son quartier. Face au commissaire-priseur du jour Elsa Joly-Malhomme, cette dernière a reconnu que cette sculpture en bon état de l’artiste Ary Bitter, pouvait être estimée à 200 euros.
À son arrivée en salle des ventes, le rêve de Gilles a viré au cauchemar. La faute à un doigt manquant sur la statuette, constatée par Julien Cohen. "Le doigt n’y est plus ? Parce qu’il y était ! Je peux regarder ? Quand je l’ai apporté, le doigt y était", s’est étonné le candidat avant de jeter un coup à son bien, et de s’agacer. "C’est dommage parce qu’il était en bon état". Heureusement, l’affaire a été conclue avec l’acheteuse et décoratrice d’intérieur Marie du Sordet, pour un montant de 220 euros.
Julien Cohen trahi par un candidat dans Affaire conclue
En septembre dernier à l’occasion du 1000ème numéro d’Affaire conclue, les meilleurs vendeurs de l’émission sont revenus pour vendre de nouveaux objets aux acheteurs. Parmi eux se trouvait Amar, un collectionneur de 38 ans et fan de vélos qui avait laissé un souvenir particulier à l’une des stars du programme de France 2.
En l’occurrence, il s’agit de Julien Cohen qui avait précédemment acheté l’un de ses modèles vintages il y a quelque temps. Sauf que l’engin acquis par l’antiquaire semblait être en mauvais état. "Vous êtes un de mes moments les plus agréables sur Affaire Conclue. Grâce à vous Amar, je me suis remis au vélo, mais aussi à la mécanique, car le premier vélo était bien pourri", a-t-il balancé avant d’ajouter. "Il m'avait vendu un vélo haut de gamme. Et puis quand j'ai commencé à pédaler, le vélo est tombé en ruine [...] Vous m'aviez dit qu'il était bien, je vous faisais confiance". Une anecdote cocasse qui a visiblement marqué le pauvre acheteur.
Plus rancunier que jamais, Julien Cohen n’a pas hésité à taquiner le candidat qui assurait que le second vélo a bien été révisé. "Pas de soucis au niveau des roues", a précisé Amar face aux acheteurs. "Ça, ça veut dire qu'il est mort", a-t-il rétorqué avec humour. D’autant que le vendeur aux Puces de Saint-Ouen s’est à nouveau laissé tenter par cet achat pour la somme de 100 euros.