Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
"Oui, il y a eu des insultes. Mais je ne l'ai pas frappée" a répété à la barre l'électron libre de l'UMP. Invoquant des disputes et la tenue vestimentaire trop osée de sa compagne pour justifier ses propos, Eric Raoult a osé la plaisanterie : "même si je suis taillé comme une brute, je ne suis pas une brute", a-t-il plaisanté à la sortie du tribunal, sourire aux lèvres.
Une version que n'a pas vraiment contredite son épouse, qui a minimisé les accusations qu'elle avait portée durant l'enquête à la surprise du procureur. Celui-ci a mis son changement d'attitude sur le compte de la "culpabilité" d'une Corine Raoult inquiète pour la dégradation de l'état de santé de son ex-mari. Celui-ci avait en effet été hospitalisé pour plusieurs accidents vasculaires cérébraux (AVC) en 2012. Il est désormais innocent aux yeux de la loi.