Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Le Parisien assure désormais que les enquêteurs sont sur la piste d’un mystérieux homme. Celui-ci aurait en effet séjourné dans la même ville que les Al-Hilli, au camping du Solitaire à Saint-Jorioz, et se serait entretenu avec le père de famille la veille de la tuerie. C’est au lendemain de l'arrivée de la famille dans ce camping, le 3 septembre 2012, que Saad al-Hilli a été vu en grande conversation avec un homme pendant une demi-heure. "Une discussion animée mais pas décrite comme véhémente. Mais chacun à son interprétation de ce qu’est une dispute en fonction de sa culture", a par ailleurs précisé une source judiciaire contactée par Le Parisien.
L’enquête sur la tuerie de Chevaline connaît actuellement de nombreux rebondissements. En début de semaine, la BBC a en effet révélé la présence d'un motard au moment du drame. Et alors que cette annonce a ensuite été suivie par la diffusion d’un portrait-robot,Le mystère des passeports disparusAutre élément étrange récemment révélé par le parquet d’Annecy : les passeports britanniques de deux des quatre victimes de cette affaire de meurtre auraient mystérieusement disparu. "Compte tenu du timing (de la tuerie), il n'est pas impossible que le tueur ait pris ces deux passeports" pour prouver qu'il avait bien tué ses victimes "mais ça paraît drôlement serré", a confié souligné Eric Maillaud, le procureur de la République de cette ville.
Seules les enfants Al-Hilli ont survécuLa famille Al-Hilli a été victime d’une attaque meurtrière le 5 septembre 2012. Le père, la mère, la belle-mère ont en effet été tués par balle alors qu’ils se trouvaient dans leur voiture, sur le parking d’une route forestière de Chevaline. Seules les deux fillettes du couple ont survécu à ces tirs. Un cycliste qui passait par là au moment du drame a lui aussi été tué. Les enquêteurs pensent qu’il s’agit d’une victime collatérale