Janvier 2025 ne devrait pas connaître d'épisodes climatiques marquants. Si le début de l'année s'annonce frais voire froid sur une grande partie de la France, avec peut-être de la neige en basse altitude, les...
Canard Enchaîné dans sa dernière édition. Selon le quotidien satirique qui dit tenir ses informations d’une ancienne hôtesse de ce très chic établissement parisien, la direction donnerait pour consigne à ses employés de placer les clients jugés les plus beaux aux tables situées à l’avant du restaurant, et de reléguer les plus moches au fond. Et alors que ce Costes se situe au sixième étage du célèbre musée et que sa paroi est entièrement vitrée, tout ceci serait fait dans le but de renvoyer une belle image de l’établissement aux visiteurs du musée.
Au Costes de Centre Pompidou (Paris, 4e), le placement s’effectuerait à la tête du client. C’est en effet ce que révèle lePour être attablé devant quand on est moche, il faut être une star "Il nous serine les principes de la maison, dont il est très fier, vu qu'il les a inventés", a par ailleurs rapporté l’ex-salariée du groupe à propos de Gilles Costes, le patron. Et la jeune femme d’ajouter que les seules fois où elle et ses collègues étaient autorisés à transiger à cette règle, c’était lorsque des célébrités venaient pour s’attabler. Dans ces cas-là, peu importait leur physique, seule leur popularité était prise en compte.
"C’est une critique récurrente"Contactée par la rédaction du Parisien, la direction du Costes n’a pas souhaité s’épancher sur cette affaire. "C’est une critique récurrente qui ne reflète pas la politique de chez Costes et cela ne sert à rien de monter cette affaire en épingle", a souligné le service communication du groupe. A noter toutefois, que celui-ci n’a pas cherché à démentir les faits rapportés par son ancienne salariée.