Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
ouvrir des salles de consommation de drogues à Paris a suscité une importante vague de réactions. Du côté de la ministre de la Santé Marisol Touriane, on estime que les « salles de shoot » sont une réponse « sans tabou » au problème de la dépendance aux produits psychotropes. Même si la ministre, à l’initiative du projet, n’a cessé de marteler qu’il fallait arrêter de « se voiler la face », l’annonce a créé des remous dans la classe politique.
Le premier à avoir dégainé est le député Front National du Gard, Gilbert Collard. « On n'a qu'à répertorier tous les actes de délinquance auxquels on n'arrive pas à trouver de solution, et puis on fait des salles de viol, des salles de crime, des salles de vol » a-t-il déclaré. Le tir de barrage s’est poursuivi avec la réaction de l’UMP Valérie Pécresse. « Ça me choque parce que j'ai le sentiment de non assistance à personne en danger. Une personne qui souffre d'une addiction très forte, on doit la protéger contre son addiction et non l'encourager dans son addiction ». C’est la Mildt (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et toxicomanies) qui est en charge de la mise en œuvre du projet. Pour l’instant ni la date ni le lieu n’ont filtré.