De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Pourquoi s’exposer ainsi à des rapprochements périlleux ?", s’interrogeait déjà la journaliste Sylvie Bommel, dans son ouvrage intitulé Il venait d’avoir 17 ans, publié le 2 mai 2019 aux éditions JC Lattès. L’autrice enquêtait alors sur la relation liant Brigitte et Emmnauel Macron, dont l’histoire d’amour serait "digne d’un roman français", estiment certains titres de la presse people, comme c’est le cas de Femme Actuelle. Force est de constater que leur récit a été raconté maintes et maintes fois, suscitant occasionnellement certaines critiques. L’ancienne enseignante a d’ailleurs tenu à faire savoir qu’elle n’était pas "cette professeure indigne qui aurait séduit son élève", rappelle Closer.
Des années après leur mariage, célébré le 20 octobre 2007 après la mort des parents de l’ancienne amiénoise, l’union d’Emmanuel et Brigitte Macron fait couler encore beaucoup d’encre. Récemment, la cérémonie faisait l’objet d’un chapitre dans le livre de Marie Huret et Renaud Dely, titré Les Macron du Touquet, Elysée-Plage et publié le jeudi 11 juin 2020 aux éditions du Seuil. Ils évoquent tous deux l’étrange "récidive nuptiale" de la Première dame, qui, semble-t-il, a fait montre d’une surprenante obsession ce jour-là.
Ce qu’il faut retenir du premier mariage de Brigitte Macron
Avant d’épouser son ancien élève, Brigitte Macron – à l’époque Trogneux – a rencontré un autre homme : André Auzière. Ils sont tombés amoureux et se sont dit "oui" le 22 juin 1974, à l’hôtel de Ville du Touquet. La future enseignante avait 21 ans à l’époque, et avait opté pour une "longue robe bustier en dentelle", rapporte Femme Actuelle. Jusque là, rien de très étonnant. Jusqu’à ce que l’amiénoise récidive, plus de trois décennies plus tard…
C’est quoi la "récidive nuptiale" de Brigitte Macron ?
"Pour ses secondes noces, elle a choisi le même lieu que pour ses premières noces, le Touquet, la même salle des mariages dans cet hôtel de ville aux allures de manoir médiéval anglais", observe d’entrée de jeu Sylvie Bommel, qui ajoute que c’est aussi Léonce Deprez, le même maire, qui officie pour les deux cérémonies. A trente-trois ans d’écart.
C’est précisément ce choix qui interpelle la journaliste, qui y lit une potentielle "revanche" à prendre sur "toutes les années où il a fallu se cacher". "Pas besoin d’obliger Brigitte à repasser devant le même maire dans le même hôtel de ville et à partager la même pièce montée dans le même palace, avec pour partie, les mêmes invités ! Si ça se trouve Le Beau Danube bleu, la valse sur laquelle Emmanuel la fait tournoyer, elle l’avait aussi dansée au bras d’André", rappelle encore l’autrice.
Et si ce n’était pas simplement une revanche à prendre ?
D’autres, nommément Marie Huret et Renaud Dély, envisagent une toute autre raison pour explique la "récidive nuptiale" de Brigitte Macron. Ils y voient, eux, une raison peut-être plus politique.
"Transgression ou pied de nez au passé ? Pourquoi Brigitte Macron a-t-elle accepté d’épouser Emmanuel au Westminster, lieu de ses premières noces au Rouquet ?", questionne d’abord Marie Huret, avant de s’expliquer. Selon elle, un homme aurait largement influencé ce choix. Et il ne s’agit pas d’Emmanuel Macron, ni d’André Auzière.
"C’était en fait un endroit qu’adorait Henry Hermand, le mécène qui a soutenu la carrière politique d’Emmanuel Macron. C’est lui qui a vivement suggéré ce choix. Très occupé à Paris, Emmanuel ne s’est occupé de rien quand sa future épouse et ce financier choisissaient de concerts les vins et les mets pour faire la fête", poursuit-elle.