De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
C'est le grand sujet du moment. La France est-elle confrontée à une invasion généralisée de punaises de lit ? Ou seulement à une présence limitée de l'insecte, accompagnée d'une panique démesurée ? De récents témoignages accompagnés de photo prétendent amener la preuve de l'existence des punaises de lit dans certains transports en commun, tels que le métro ou le train, qui transportent chaque jour des milliers de passagers. Les clichés ont immédiatement entraîné une déferlante de réactions alarmées : sommes-nous envahis, faut-il inspecter chaque siège du bus ou pire, cesser de prendre les transports en commun ? En réalité, révèle Numerama, il y a probablement autant de chance de gagner au loto que de ramener une punaise de lit chez soi depuis les transports.
Les punaises de lit, prédateur craintif
Ainsi, explique l'enthomologiste Léna Polin, interviewée par le média, une punaise de lit n'a aucun intérêt à rester sur vous après vous avoir piqué. "Les punaises de lit ont été suspectées dans les trains, les cinémas… Mais le comportement de la punaise de lit est d’aller boire du sang, puis de se cacher. Elle n’aurait aucun intérêt à rester sur vous ou dans vos affaires pour rentrer chez vous. Elle va plutôt vouloir rester sur le siège sur lequel elle vous a piqué". Et une punaise peut-elle rester coincée dans un pli de vêtement ? C'est peu probable, répond encore l'enthomologiste. À moins de laisser votre manteau trainer sur le lit d’une personne qui a des punaises de lit chez elle, pendant une soirée… Là oui, il y a un petit risque. Mais il y a quand même de bonnes chances pour que la punaise de lit ne s’intéresse pas à votre manteau et n’aille pas dessus ", comme il n'y a personne a piquer dedans. La logique est valable pour les vêtements achetés en seconde main, dans des fripes ou bien encore sur Vinted.