La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Très affaiblie au mois de janvier par les révélations de Closer sur la supposée liaison entre François Hollande et Julie Gayet, Valérie Trierweiler reprend désormais le dessus. De retour à Paris après avoir séjourné à l’île Maurice avec quelques-unes de ses amies, dont l’épouse du ministre Michel Sapin, l’ex-Première dame semble même prête à régler ses comptes. "Au soleil, elle prépare sa revanche", avait d’ailleurs titré pendant son séjour le magazine people par qui le scandale du "Closergate" est arrivé, le tout agrémenté de photos de Valérie Trierweiler en maillots de bain deux pièces. L’hebdomadaire précisait également qu’elle et ses amies "avaient réservé l'une des treize villas luxueuses posées au bord d'un lagon, qui se louent à partir de 1.420 euros la nuit". Un choix éditorial qui n’a pas plu à la principale intéressée, ni à ses proches.
Une plainte pour "atteinte à la vie privée"Et si son fils, Léonard, a posté un message sur Tweeter pour demander qu’on "laisse (s)a mère tranquille" car "après son épreuve, elle a droit au repos", l’ancienne compagne du président Hollande a, quant à elle, décidé de riposter en portant plainte contre Closer pour "atteinte à la vie privée". A ce titre, elle réclame même 55 000 euros au magazine. Suite à ses révélations sur prétendue "love affair" du chef de l’Etat, le magazine est également visé par une plainte déposée par Julie Gayet. L’actrice à l’affiche d’Ames de papier a en effet attaqué Closer au pénale pour "atteinte à l’intimité de la vie privée". En cause : la publication de photos d’elle au volant de sa voiture dans l’édition du 17 janvier.